Deux grandes dames de la poésie mondiale, Jila Mossaed et Vénus Khoury-Ghata, dialoguent à l’occasion de la parution du recueil de poésie "Le huitième pays".
Jila Mossaed : D. R. / Vénus Khoury-Ghata : photo Catherine Helie
Deux grandes dames de la poésie mondiale, Jila Mossaed et Vénus Khoury-Ghata, dialoguent à l’occasion de la parution du recueil de poésie Le huitième pays, où il est question d’amour, de déracinement, d’enfance et de mémoire collective.
Si Jila Mossaed a depuis longtemps quitté physiquement l’Iran, son pays continue à l’habiter avec ses paysages, ses femmes, ses croyances et ses superstitions. Son écriture limpide habille le quotidien de féérie et de magie. Le huitième pays est son huitième recueil de poésie en suédois, traduit en francais par Francoise Sule, édité par Le Castor Astral en version bilingue et préfacé par Vénus Khoury-Ghata.
Vénus Khoury-Ghata est née en 1937 au Liban et s’installe à Paris en 1972 pour fuir la guerre. Elle obtient le grand prix de poésie de l’Académie française en 2009 et le prix Goncourt de la poésie en 2011 pour Où vont les arbres.
La rencontre est modérée par Jean-Yves Reuzeau, éditeur de Jila Mossaed. Elle est suivie par des lectures en suédois par Jila Mossaed et en français par sa traductrice, Françoise Sule.
En collaboration avec Le Castor Astral.