Que signifie écrire depuis la Belgique ? Qu’ont en commun ses écrivain.e.s ?
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Que signifie écrire depuis la Belgique ? Qu’ont en commun ses écrivain.e.s ? Quelque chose les distinguerait-ils.elles de celles et ceux qui, de l’autre côté de la frontière, partagent la même langue. Une sémantique, un imaginaire, un rapport aux mots propres ?
Cette soirée, la première d’une série de quatre, sera un lieu d’échanges menés par l’écrivaine Nathalie Skowronek où nous parlerons de littérature d’une façon libre, intime, informelle. De ces livres qui nous troublent, nous enchantent, créent des passerelles, brouillent les cartes. Que mettent-ils en jeu ? Comment prennent-ils vie ? En quoi seraient-ils les révélateurs d’une époque, d’une thématique, d’une certaine « identité » ?
Deux titres par rencontre, un binôme à lire en amont pour qui le souhaite, une heure et demie de partage durant laquelle on ne se privera pas d’attendre beaucoup des grands textes : les livres, le monde et les lecteurs ne font qu’un.
Georges Rodenbach, Bruges-la-morte et Caroline Lamarche, Carnets d’une soumise de province
Nathalie Skowronek est l’autrice de cinq livres publiés aux éditions Arléa, Gallimard et Grasset. Elle vit entre Bruxelles et Paris et enseigne depuis 2016 à l’Atelier des écritures contemporaines de La Cambre. Son prochain roman, La carte des regrets, paraîtra en février 2020 aux éditions Grasset.
Attention, pour des raisons d’écoute et de fluidité de la parole, la séance est réservée à 20 participant.e.s maximum. Réservation obligatoire.