« Il me reste au maximum 50 – 60 ans à vivre. Qui peut dire si, à l’heure de mon agonie, l’aide-soignant qui m’accompagnera avec bienveillance vers l’au-delà sera un être humain ? ... »
©Gregory Batardon
« ... Et si mon aide-soignant est un robot, prononcera-t-il les derniers mots de réconfort en sachant qu’il ne sait pas ce qu’est la mort, comme nous tous ? Ou alors aura-t-il développé, de par sa nature non biologique, une compréhension du non-être beaucoup plus complète, voire concrète, que nous autres ? » Joël Maillard
En partenariat avec la Biennale Némo