Tropisme transdisciplinaire Performances – Installations – Vidéos - Numérique Dans le cadre du Festival Les Traversées du Marais
© Renaud Auguste-Dormeuil, Spin off - Jusqu'ici tout va bien, Vue d'exposition MACRO Testaccio – Rome © Luis Do Rosario Courtesy de l'artiste et Galerie In Situ - fabienne leclerc
Paper Lane d'Olga de Soto & Rien n’est figé, proposition inédite de Gwendoline Robin
Olga de Soto déploie Paper Lane et restitue une intervention au cours de laquelle un seul et unique geste, dilaté, est déployé en un mouvement constant et dont la réalisation dessine l’espace et génère le temps de l’action.
Gwendoline Robin propose une performance inédite in situ, à travers l’activation de différents dispositifs visuels et sonores, qui prennent la mesure du lieu et de son intensité : rien n’est figé, tout est matière à manipulation, changement d’état et à transformation.
L’installation vidéo Ready-mades with Interest de Rebecca Jane Arthur
En partant d’un ticket de concert de 1967, le film de Rebecca Jane Arthur dresse un portrait de son père, partageant ses souvenirs avec elle, et relate en même temps le contexte sociopolitique de la musique jouée cette nuit-là.
Dans le cadre d’un cycle intitulé Espaces Spéculatifs, deux installations: Spin-off Jusqu’ici tout va bien de Renaud Auguste-Dormeuil & installation sonore Latitudes Nord du collectif Ersatz
Renaud Auguste-Dormeuil expose Spin-off, une enseigne lumineuse ayant la particularité de pouvoir voler, grâce à un drone et composant la phrase : Jusqu’ici tout va bien. Sa mobilité étonnante, sa capacité à atteindre des lieux inaccessibles et interdits en font une parfaite métaphore de ce que devrait ou pourrait être l’Art.
Le collectif Ersatz dévoile l’installation Latitudes Nord, sous la forme de capsules sonores avec illustrations associées, qui retracent librement le carnet de bord de l’expédition au pôle Nord du scientifique et explorateur norvégien Fridtjof Nansen.
Installation numérique : No Tears in the loss Landscape de Thomas Depas.
Thomas Depas investigue les relations entre la technique et le vivant. Le visage du spectateur - filmé par une webcam - se superpose aux images de visages, produites par un agent virtuel, et issues principalement d’une banque de données, mais aussi de visages de célébrités et de Flickr. L’individu se fond ainsi dans la multitude des visages appris par l’algorithme.