• Mars 2022

    • Vendredi 11 19:00 - 21:00
    • Vendredi 18 19:00 - 21:00
    • Vendredi 25 19:00 - 21:00
  • Avril 2022

    • Vendredi 8 19:00 - 21:00
    • Vendredi 22 19:00 - 21:00
  • Mai 2022

    • Vendredi 6 19:00 - 21:00
    • Vendredi 20 19:00 - 21:00
  • Juin 2022

    • Vendredi 3 19:00 - 21:00
    • Vendredi 10 19:00 - 21:00
Centre Culturel Coréen
20, rue la Boétie
  • Mars 2022

    • Vendredi 11 19:00 - 21:00
    • Vendredi 18 19:00 - 21:00
    • Vendredi 25 19:00 - 21:00
  • Avril 2022

    • Vendredi 8 19:00 - 21:00
    • Vendredi 22 19:00 - 21:00
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    • Vendredi 6 19:00 - 21:00
    • Vendredi 20 19:00 - 21:00
  • Juin 2022

    • Vendredi 3 19:00 - 21:00
    • Vendredi 10 19:00 - 21:00
Centre Culturel Coréen
20, rue la Boétie

Ciné-Club Corée

Les vendredis 11, 18 et 25 mars, 8 et 22 avril, 6 et 20 mai, 3 et 10 juin à 19h

Les vendredis 11, 18 et 25 mars, 8 et 22 avril, 6 et 20 mai, 3 et 10 juin à 19h

Centre Culturel Coréen

Depuis novembre 2021 est lancé au Centre Culturel Coréen un « ciné-club » ouvert à tous ceux qui souhaitent mieux connaître le cinéma coréen.
Comprenant 16 séances au total, ce programme proposera cette année 13 projections qui auront ainsi lieu le vendredi soir jusqu’au 10 juin 2022.

Les films sont répartis en 4 thèmes :
· Films romantiques : C’est un genre très prisé en Corée correspondant parfaitement au tempérament sentimental des Coréens.
· Films sur la jeunesse : Comment la jeunesse coréenne a-t-elle évoluée au cours des dernières décennies, et comment s’intègre-t-elle dans la société d’aujourd’hui ? Ce sont là les questions de taille posées à travers ces films.
· Films des années 1960 : Le 1er âge d’or du cinéma coréen se situe entre 1954 et 1963, le 2e entre 1964 et 1968, avant le renforcement de la censure à partir de 1971. Tous ces films sont porteurs d’une modernité remarquable qui ouvrira la voie à la reconnaissance internationale du cinéma coréen.
· Films évoquant la place des femmes dans la société : Ils permettent de mieux comprendre comment les Coréennes sont parvenues, au fil des dernières décennies, à leur niveau actuel d’émancipation.

Chaque thème est illustré par 4 films pour la plupart peu connus, voire inédits en France.

La programmation a été réalisée par Mme Han Kyung-Mi, réalisatrice de courts et moyens métrages (dont plusieurs ont été sélectionnés lors de différents festivals), qui anime également la discussion avec le public suivant chaque projection.

Les 9 films proposés durant ce printemps aborderont les thématiques de la jeunesse, des films des années 1960, ainsi que de la place de la femme dans la société coréenne.

Vendredi 11 mars à 19h
Punch de Lee Han (2011) / drame
110 min, VOSTF / Avec : Yoo Ah-in, Kim Yoon-seok
Basé sur un roman à succès publié en 2008 et projeté pour la première fois en France, ce film raconte l’histoire de Wan-deuk, un lycéen bagarreur devant faire face à la pauvreté, à ses résultats scolaires médiocres, au handicap de son père, et qui est hanté par le fantôme de sa mère philippine, partie du domicile familial lorsqu’il était tout petit. Martyrisé par Lee Dong-ju, un professeur atypique constamment sur son dos, Wan-deuk est un jour tenté par le kickboxing. Ce sport va-t-il l’aider à sortir de sa condition ? Un film qui questionne un pan de la société coréenne plus que jamais d’actualité, à savoir les familles mixtes.

Vendredi 18 mars à 19h
La Servante de Kim Ki-young (1960) / drame psychologique
108 min, VOSTF / Avec : Lee Eun-shim, Kim Jun-kyu, Joo Jung-nyeo
Film le plus connu du programme de ce ciné-club, La Servante fait partie d’un genre rare pour l’époque : le drame psychologique. L’histoire fait s’affronter un professeur de piano et sa servante, ancienne ouvrière, qui entreprend de le séduire. Mais un abîme social les sépare, tandis qu’une issue tragique à leur relation semble inéluctable. Ce film, remarquable à bien des niveaux, envoûte par son climat des plus troubles et sa mise en scène haletante et intemporelle.

Vendredi 25 mars à 19h
La Servante de Im Sang-soo (2010) / drame psychologique
106 min, VOSTF / Avec : Jeon Do-yeon, Lee Jung-jae, Youn Yuh-jung
Brillant remake du film de Kim Ki-young, cette oeuvre brosse un portrait encore plus féroce et critique des écarts sociaux que l’on retrouve en Corée. En sélection officielle à Cannes l’année de sa sortie, ce film raconte l’histoire d’Euny, engagée comme aide-gouvernante dans une demeure bourgeoise. Alors que la maîtresse de maison Hae-ra attend des jumeaux, son mari Hoon prend Euny pour maîtresse. Tout va alors basculer dans la vie des protagonistes...

Vendredi 8 avril à 19h
La Moustache du général de Lee Seong-gu (1968) / drame psychologique
103 min, VOSTF / Avec : Shin Seong-il, Yoon Jeong-hee
L’histoire s’ouvre sur la mort mystérieuse d’un photo-journaliste. L’inspecteur Park et son jeune collègue Kim interrogent l’entourage de la victime, plongeant les spectateurs au coeur d’une surprenante enquête. Inédit en France, ce film est basé sur le roman éponyme de Lee O-young. Son récit teinté de noirceur a néanmoins su gagner le coeur de très nombreux spectateurs en Corée. Cette oeuvre atypique mêle plusieurs techniques de cinéma, notamment l’introduction de séquences animées.

Vendredi 22 avril à 19h
Le Retour de Lee Man-hee (1967) / drame romantique
90 min, VOSTF / Avec : Kim Jin-kyu, Moon Jung-suk, Jeon Gye-hyeon
Ce mélodrame met en vedette Ji-yeon, l’épouse d’un écrivain handicapé, blessé de guerre. Cette dernière doit s’occuper de lui au quotidien, la situation faisant de ces deux personnages deux victimes de la guerre de Corée. Leur mariage est mis à l’épreuve lorsque Ji-yeon s’éprend d’un homme plus jeune qu’elle. Censuré pendant plus de 40 ans, ce film a été présenté au public pour la première fois en 2008 lors du Festival du Film de Busan. Il a, depuis, reçu de nombreux éloges de la part des critiques de cinéma. Il s’agit ici de sa première projection en France.

Vendredi 6 mai à 19h
L’Arche de chasteté de Shin Sang-ok (1962) / drame
99 min, VOSTF / Avec : Choi Eun-hee, Shin Young-kyun
Sélectionné lors de la Berlinale de 1963 et au Festival de Cannes, ce film interroge la notion de fidélité des femmes en contant l’histoire d’une jeune veuve de bonne famille coréenne dans les années 1920. Cette dernière ayant eu un fils avec l’un de ses domestiques, elle et le nouveau-né sont rejetés par sa belle-famille. Alors que le bébé devient un homme, elle est forcée de lui tourner le dos, contrainte de respecter le célibat lié à sa condition de veuve. Cette oeuvre dépeint les conditions difficiles des femmes coréennes de cette époque.

Vendredi 20 mai à 19h
Madame Freedom de Han Hyung-mo (1956) / drame
125 min, VOSTF / Avec : Park Am, Kim Jeong-rim
La femme d’un professeur mal payé cherche à s’émanciper en travaillant dans une boutique pour compléter le salaire de ce dernier, tout en se laissant initier à la danse et à l’alcool par un voisin énamouré. Pendant ce temps, son mari s’éprend de l’une de ses étudiantes, et les frasques du couple sont source de scandale dans leur entourage. Ce film culte a ouvert un regard sur l’émancipation des femmes coréennes des années 1950-60.

Vendredi 3 juin à 19h
Yeong-ja’s Heydays de Kim Ho-sun (1975) / drame romantique
103 min, VOSTF / Avec : Yeom Bok-sun, Song Jae-ho
Yeong-ja, jeune femme de la campagne venue à Séoul pour gagner sa vie, rencontre Chang-su, qui tombe amoureux d’elle et la demande en mariage avant son départ pour la guerre du Vietnam. Mais Yeong-ja le rejette. Toutefois, malgré les nombreux déboires qu’elle rencontrera par la suite, Chang-su n’aura de cesse de lui venir en aide. Cette histoire d’amour ayant permis au film de passer la barrière de la censure, une forte critique sociale s’en dégage néanmoins en filigrane. Cette oeuvre ouvre l’ère du film social comme celle du cinéma d’auteur dans la Corée des années 1970.

Vendredi 10 juin à 19h
Happy End de Jung Ji-woo (1999) / drame romantique
99 min, VOSTF / Avec : Choi Min-sik, Jeon Do-yeon, Joo Jin-mo
Bora dirige avec succès un institut d’anglais, tandis que son mari Min-ki, chômeur ayant du mal à retrouver un nouvel emploi, s’occupe seul de leur enfant et des tâches ménagères. En parallèle, elle mène une vie sentimentale épanouie avec un ancien amant retrouvé. Un jour, son mari l’apprend... Ce film présente le personnage d’un mari « émasculé » de par ses déboires et son incapacité à satisfaire sa femme, tant sentimentalement que physiquement. Quel sera le prix à payer pour les deux protagonistes ?

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Comme toutes les activités de notre Centre, cet événement est proposé gratuitement.
Réservation fortement recommandée : https://centreculturelcoreen.mapado.com
La réservation en ligne ouvrira 2 semaines avant la date de l’évènement.

Conformément aux consignes gouvernementales, l’accès au centre nécessite la présentation d’un pass vaccinal pour toutes les personnes de plus de 16 ans, et d’un pass sanitaire européen pour toutes les personnes entre 12 ans et 15 ans inclus.

CENTRE CULTUREL CORÉEN
AUDITORIUM

icône prixEntrée libre sur réservation
icône horaire11 mars - 10 juin 2022, certains vendredis
icône lieuCentre Culturel Coréen, 20, rue la Boétie