Le jeune metteur en scène valaisan Stefan Hort convoque sur scène la force et la prouesse technique du circassien Jonathan Fortin et les sons lunaires et virtuoses du trompettiste Yannick Barman.
Céline Ribordy
Le spectacle prend le mythe d’Icare pour point de départ. Il explore diverses solutions « intermédiaires » que nous serions contraints d’adopter pour assurer notre (sur) vie : une position moyenne, entre deux mesures, deux pôles ; l’une comme l’autre de ces extrémités pouvant être potentiellement dangereuse. Sur scène, Yannick Barman, mêlant cuivres et musique électronique répond à Jonathan Fortin, sangliste et artiste de cirque. De Dédale à Icare, de Yannick à Jonathan, il est ici question d’envie de liberté, pour arrêter de se perdre.